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SAISON 2023-2024
2024
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FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jeudi 18 avril

à 20h00

Chez Janine et Jacques

4650 HERVE (Belgique)

Réservation souhaitée

+33 6 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance."

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

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MILLE ET UNE NUITS

Anne-Marie Collin & André Loncin

lisent les nuits 34 à 38.

Samedi 20 avril

à 20h00

Chez Alain Bouly

77340 PONTAULT-COMBAULT

Réservation

0616392485

cielpt@gmail.com

Raconte-moi une histoire ou je te tue !

Jugées futiles, les Mille et une nuits poursuivront néanmoins leur vie dans les coulisses de la littérature, à travers les siècles et les continents. Ni essentiellement savantes, ni totalement populaires, « les Nuits » combinent un plaisir raffiné à un souci d’édification du lecteur sur la condition humaine, entre grandeur et bassesses, héroïsme et cruautés, actes de bravoure et injustices diverses et variées.

 

Le Petit Théâtre vous propose d’en découvrir les nuits 34 à 38 : « On raconte encore que régnait à Bassora un roi qui aimait ses sujets. Il avait deux vizirs : le premier surpassait tous les hommes de son temps par sa générosité, tout le monde l’aimait, c’était un pur ; l’autre, lui, détestait les gens, il avait horreur du bien : c’était le mal incarné... »

TÊTE À TÊTE

Pour tous ceux qui s'aiment

- ou pas -

de 6 à 106 ans

Jeudi 25 avril

à 10h00 et à 14h00

Médiathèque Pierre Seghers

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation souhaitée

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

Anne-Marie Collin et André Loncin vous proposent de découvrir un choix d’albums – surprenants, drôles et émouvants – sur les nombreux visages de l’amour, celui qu’on porte à ses proches, à ses copains, à ses amis, et bien sûr aussi, à son amoureux ou son amoureuse…

 

Ils vous donneront à voir et à entendre : Tête à Tête de Geert de Kockere et Klaas Verplancke, L’Ours et l’enquiquineuse de Bonny Becker et Kady Macdonald Denton, L’amoureux de Rebecca Dautremer, Mon amour de Paul Cox, La folle allure de Christian Bobin, L’amour qu’on porte de Jo Hoestlandt, La pluie est amoureuse du ruisseau de David Dumortier et Julia Chausson. Et tout finira, comme il se doit, en chanson avec La complainte du progrès de Boris Vian.

Un spectacle qui rend léger, joyeux,

 qui émeut et qui se partage à tout âge.

 

Françoise Sabatier-Morel – Télérama TTT

À LA LIGNE

Feuillets d'usine

André Loncin lit

Joseph PONTHUS

Mardi 30 avril

à 8h00

Lycée Van Dongen

45 avenue Jean Mermoz

773400 LAGNY-SUR-MARNE

Pour annoncer votre venue :

C'est l'histoire d'un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c'est qu'il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d'Apollinaire et les chansons de Trenet. C'est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l'odeur de la mer. Par la magie d'une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes.

Premier roman de Joseph Ponthus, « À la ligne » est le récit à la première personne d'une vie à l'usine, en intérim. Les cadences, le corps en souffrance, l'odeur, l'épuisement, mais aussi "la paradoxale beauté" de l'usine. Le jeune romancier déploie son texte comme un long ruban, comme une ligne de chaîne qui ne s'arrête jamais. Une claque.

 

Culturebox, 28 février 2019.

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Dimanche 9 juin

à 16 heures

Chez Fabienne et Pierre

4910 THEUX (Belgique)

Réservation

06 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Samedi 15 juin

à 20 heures

Chez Colette et Michel

4608 WARSAGE (Belgique)

Réservation

00 33 6 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

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