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SAISON 2024-2025
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FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Mercredi 9 octobre

à 18h00

Librairie Les Augustins

1 Pont du Chêne

4800 Verviers

Belgique

Réservation souhaitée

"Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance;"

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Vendredi 11 octobre

à 20 heures

Bibliothèque de Fléron

Espace culture

18 rue de Romsée

4620 FLÉRON

Belgique

Réservation

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

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MILLE ET UNE NUITS

NUITS 34 à 38

Samedi 12 octobre

à 20h00

4821 ANDRIMONT

Belgique

Nous contacter pour plus de précision.

Réservation

cielpt@gmail.com

+33616392485

Raconte-moi une histoire ou je te tue !

Jugées futiles, les Mille et une nuits poursuivront néanmoins leur vie dans les coulisses de la littérature, à travers les siècles et les continents. Ni essentiellement savantes, ni totalement populaires, « les Nuits » combinent un plaisir raffiné à un souci d’édification du lecteur sur la condition humaine, entre grandeur et bassesses, héroïsme et cruautés, actes de bravoure et injustices diverses et variées.

 

Le Petit Théâtre vous propose d’en découvrir les nuits 34 à 38 : « On raconte encore que régnait à Bassora un roi qui aimait ses sujets. Il avait deux vizirs : le premier surpassait tous les hommes de son temps par sa générosité, tout le monde l’aimait, c’était un pur ; l’autre, lui, détestait les gens, il avait horreur du bien : c’était le mal incarné... »

Tête à tête

TÊTE À TÊTE

Pour tous ceux qui s'aiment

- ou pas -

de 6 à 106 ans

Samedi 12 octobre

à 20h00

Maison Bronfort

Place du marché

4845 SART-JALHAY

Belgique

Réservation souhaitée

Anne-Marie Collin et André Loncin vous proposent de découvrir un choix d’albums – surprenants, drôles et émouvants – sur les nombreux visages de l’amour, celui qu’on porte à ses proches, à ses copains, à ses amis, et bien sûr aussi, à son amoureux ou son amoureuse…

 

Ils vous donneront à voir et à entendre : Tête à Tête de Geert de Kockere et Klaas Verplancke, L’Ours et l’enquiquineuse de Bonny Becker et Kady Macdonald Denton, L’amoureux de Rebecca Dautremer, Mon amour de Paul Cox, La folle allure de Christian Bobin, L’amour qu’on porte de Jo Hoestlandt, La pluie est amoureuse du ruisseau de David Dumortier et Julia Chausson. Et tout finira, comme il se doit, en chanson avec La complainte du progrès de Boris Vian.

Un spectacle qui rend léger, joyeux,

 qui émeut et qui se partage à tout âge.

 

Françoise Sabatier-Morel – Télérama TTT

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Jeudi 17 octobre

à 13 heures

BIBLIOTHÈQUE

65 rue Louis Pasteur

4630 SOUMAGNE

Belgique

Réservation

+32 43 77 97 90

bibliotheque@soumagne.be

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Vendredi 18 octobre

à 20 heures

Maison des Associations

1 rue au Flot

4600 RICHELLE

Belgique

Réservation

00 32 43 74 85 57

bib.communale@vise.be

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

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FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Samedi 9 novembre

à 18h30

BIBLIOTHÈQUE

Place de la Mairie

77690 MONTIGNY-sur-LOING

Réservation souhaitée

"Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance;"

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

BR AFFICHE

BROUTILLES

LA BIGONNERIE

271 chemin de la Bigonnerie

37400 AMBOISE

Samedi 23 novembre

à 15h00

Réservation conseillée 

Un spectacle à partir d’un choix d’albums qui parlent de petits faits,

de petites choses, de petits événements sans importance…

Sans importance, vraiment ?

Sans importance pour qui ?

Pourquoi ?

Un chagrin d’enfant, sans importance, vraiment ?

Et cette mauvaise humeur qu’on refile aux autres parce qu’on mal dormi ?

Et toutes ces questions essentielles auxquelles on cherche des réponses ?

Et ce nuage qu’on voudrait attraper, enfermer, garder rien que pour soi ?

Et cette gigantesque petite chose que l’on passe sa vie à chercher…

Sans importance ?

Tristesse, peur, honte, colère, dégoût, étonnement, fierté, amour, joie…

Toutes ces émotions qui nous traversent, qui nous animent.

Émotions à reconnaître, à nommer et à partager…

La semaine de Ferme l'Oeil.jpg

LA SEMAINE DE FERME-L’ŒIL

André Loncin lit

Hans Christian ANDERSEN

Mardi 3 décembre

à 14h00

Centre socioculturel La Lutèce

Espace culture

1 rue Charles Gounod

94460 VALENTON

Réservation

01 43 86 37 81

cielpt@gmail.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

Les Garennes de Watership Down.jpg

LES GARENNES
DE WATERSHIP DOWN

André Loncin lit

Richard ADAMS

Samedi 7 décembre

à 16h00

Centre socioculturel La Lutèce

Salle Odette et Gilbert Prinçay

1 rue Charles Gounod

94460 VALENTON

Réservation

01 43 86 37 81

cielpt@gmail.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

2025

À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

André Loncin lit

Marcel PROUST

Mardi 29 avril

à 20 heures

MÉDIATHÈQUE

7-9 rue des Vallées

Châtenay-Malabry 92290

Réservation

À la recherche du temps perdu, un déluge textuel…

« Roman comique, roman tragique, roman d’aventures, roman érotique, roman poétique, roman onirique, roman d’une expérience unique, somme de tous les romans et de deux mille ans de littérature, À la recherche du temps perdu est devenu un monument historique. Mais c’est un monument encore habité. »

Claire Fercak, Le Journal de la culture, n° 12, 2005.

« Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul… »

Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913.

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