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SAISON 2024-2025
La semaine de Ferme l'Oeil.jpg

LA SEMAINE DE FERME-L’ŒIL

André Loncin lit

Hans Christian ANDERSEN

Mardi 3 décembre

à 14h00

Centre socioculturel La Lutèce

Espace culture

1 rue Charles Gounod

94460 VALENTON

Réservation

01 43 86 37 81

cielpt@gmail.com

Ferme-l’Œil, le petit elfe, vient chaque soir raconter des histoires aux enfants pour les emmener aux pays des rêves.

S’ensuivent 7 aventures, une pour chaque soir de la semaine !

7 petits tableaux surréalistes magnifiquement illustrés par Lisbeth Zwerger. Un enchantement !

Hans Christian ANDERSEN,

Né le 2 avril 1805 à Odense et mort le 4 août 1875 à Copenhague, est un conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses « contes de fées ».

Lisbeth ZWERGER

Née en 1954 à Vienne, en Autriche. Elle y a fréquenté l’École Supérieure des Arts Appliqués. Son œuvre est toujours surprenante, attachante, toujours d’avant-garde, et elle lie en un tout son incomparable savoir-faire, son coup d’œil aigu, ainsi que son sens très fin de l’humour. Elle a obtenu presque toutes les récompenses auxquelles une illustratrice peut prétendre, et parmi elles, la Médaille Hans-Christian Andersen pour l’ensemble de son œuvre.

Que sont mes amis devenus.jpg

QUE SONT NOS AMIS
DEVENUS ?

Petit anthologie du Moyen Âge

Vendredi 06 décembre

à 10h00 et à 13h45

Médiathèque Pierre Seghers

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation souhaitée :

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

En ces temps lointains sévissaient la guerre, la lèpre, la violence, la misère... Et les lettres et les arts prenaient leur essor. Aux repas, aux fêtes, entre deux départs guerriers, on chantait des chants d'amour courtois et les troubadours, poètes de profession, racontaient, dans une forme épique, les hauts faits des royaumes.

Dans les villes, dans les villages, les ménestrels chantaient la vie de tous les jours. Souvent manants, souvent errants, leur moralité était « douteuse », leur fantaisie sans limite, leurs rires inconvenants... mais ils faisaient la joie de leur public. Ils ouvraient la voie à une poésie nouvelle. La satire, la misère et le comique prenaient place en poésie.

Avec eux, j'ai parcouru les chemins buissonniers de la littérature médiévale. En compagnie de Marie de France, première grande dame de notre littérature, de Charles d'Orléans, écolier de mélancolie, du Pauvre Rutebeuf et de François Villon, le truand, accompagné de la foule des auteurs anonymes d'innombrables farces et fabliaux, je veux vous emmener dans un univers et des ambiances qui feront revivre le lyrisme courtois et la verve satirique ou réaliste des trouvères et des troubadours.

Sur un air d'aujourd'hui, sans nostalgie, je veux dire que l'amour et la mort, la nature et le quotidien des hommes restent, en ces temps de mutation profonde, le pain du poète.

André Loncin

Les Garennes de Watership Down.jpg

LES GARENNES
DE WATERSHIP DOWN

Richard ADAMS

Une lecture bondissante d’André Loncin !

Samedi 7 décembre

à 16h00

Centre socioculturel La Lutèce

Salle Odette et Gilbert Prinçay

1 rue Charles Gounod

94460 VALENTON

Réservation

01 43 86 37 81

cielpt@gmail.com

Cessant d’être les Jeannot de notre enfance, voici que les lapins deviennent les héros d’une vaste épopée : chassés sans préavis, Cinquain et Noisette font partie d’un groupe fuyant leur garenne natale pour trouver un nouveau lieu de vie. L’Exode façon longues oreilles et quenottes, en somme !

 

« Les Garennes de Watership Down », un récit qui a la simplicité des grands mythes : Richard Adams refaçonne un système social avec ses institutions (virant parfois, pour certaines communautés, à la rudesse fascisante), sa religion et ses mythes, son économie, sa sémiotique (toute une langue est esquissée au fil du récit) …

Comment l’idée est-elle venue à monsieur Adams ? Tout simplement en voulant proposer à ses enfants, lors d’escapades dans la campagne anglaise, des histoires susceptibles de les émerveiller. Mais la richesse de l’histoire en fait plus un conte moral pour adulte tant l’univers imaginé est riche et les rapports entre les protagonistes, durs.

Je vais m’efforcer cependant de vous lire ces aventures faussement naïves mais véritablement poétiques avec les yeux candides de l’enfance…

André Loncin

Que sont mes amis devenus.jpg

QUE SONT NOS AMIS
DEVENUS ?

Petit anthologie du Moyen Âge

Jeudi 12 décembre

à 10h00 et à 13h45

Médiathèque Pierre Seghers

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation souhaitée :

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

En ces temps lointains sévissaient la guerre, la lèpre, la violence, la misère... Et les lettres et les arts prenaient leur essor. Aux repas, aux fêtes, entre deux départs guerriers, on chantait des chants d'amour courtois et les troubadours, poètes de profession, racontaient, dans une forme épique, les hauts faits des royaumes.

Dans les villes, dans les villages, les ménestrels chantaient la vie de tous les jours. Souvent manants, souvent errants, leur moralité était « douteuse », leur fantaisie sans limite, leurs rires inconvenants... mais ils faisaient la joie de leur public. Ils ouvraient la voie à une poésie nouvelle. La satire, la misère et le comique prenaient place en poésie.

Avec eux, j'ai parcouru les chemins buissonniers de la littérature médiévale. En compagnie de Marie de France, première grande dame de notre littérature, de Charles d'Orléans, écolier de mélancolie, du Pauvre Rutebeuf et de François Villon, le truand, accompagné de la foule des auteurs anonymes d'innombrables farces et fabliaux, je veux vous emmener dans un univers et des ambiances qui feront revivre le lyrisme courtois et la verve satirique ou réaliste des trouvères et des troubadours.

Sur un air d'aujourd'hui, sans nostalgie, je veux dire que l'amour et la mort, la nature et le quotidien des hommes restent, en ces temps de mutation profonde, le pain du poète.

André Loncin

CHOCOLAT LITTÉRAIRE

Pour tous les gourmands à partir de 3 ans

Vendredi 13 décembre

à 20h00

Salle polyvalente

12 route de Provins,

77560 AUGERS-en-BRIE

Réservation souhaitée :

Perché sur une énorme religieuse chocolat sortie tout droit des Deux Goinfres de Philippe Corentin, le plus gourmand des albums gourmands, André Loncin nous met l’eau à la bouche et nous régale de la lecture d’albums aussi appétissants que La Crotte de Tsé-Tsé de Bénédicte Guettier, Le Bébé bonbon de Claude Ponti, Les deux goinfres de Philippe Corentin, Aboie Georges de Jules Feiffer ou encore L’Ogre Babborco de Muriel Bloch… Et comme il se doit, tout finit en chanson avec une fabulette d’Anne Sylvestre, Pour ne pas manger !

Assis sur une énorme religieuse au chocolat, le conteur-lecteur promet un voyage littéraire au pays du sucre et autres friandises.

Un choix d’albums, lus et joués avec une belle énergie, à faire saliver les moins gourmands.

Françoise Sabatier-Morel – Télérama

À LA LIGNE

Feuillets d'usine

André Loncin lit

Joseph PONTHUS

Jeudi 19 décembre

à 10h00

LYCÉE VAN DONGEN

45 avenue Jean Mermoz

773400 LAGNY-sur-MARNE

Pour annoncer votre venue :

C'est l'histoire d'un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c'est qu'il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d'Apollinaire et les chansons de Trenet. C'est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l'odeur de la mer. Par la magie d'une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes.

Premier roman de Joseph Ponthus, « À la ligne » est le récit à la première personne d'une vie à l'usine, en intérim. Les cadences, le corps en souffrance, l'odeur, l'épuisement, mais aussi "la paradoxale beauté" de l'usine. Le jeune romancier déploie son texte comme un long ruban, comme une ligne de chaîne qui ne s'arrête jamais. Une claque.

 

Culturebox, 28 février 2019.

2025
Encre noire et clair de lune.jpg

ENCRE NOIRE 
ET CLAIR DE LUNE

Textes choisis

sur le thème de la nuit

lus par

Anne-marie Collin

& André Loncin 

Vendredi 24 janvier

à 20h00

Médiathèque

du Château des Dames

Rue du 19 mars 1962

77820 Le CHÂTELET-en-BRIE

Réservation conseillée

Au cours de cette lecture/spectacle, Anne-Marie Collin et André Loncin évoqueront la nuit au fil de textes divers et variés, écrits par Allais, Baudelaire, Bobin, Bradbury, Céline, Clément, Colette, Collin, Darwich, De Beauvoir, De Nerval, Desproges, Droit, Duras, Gautier, Hugo, Koltz, Laâbi, Levin, Mallarmé, Musset, Norge, Paz, Pessoa, Quignard, Dame Sei Shonagon, Szymborska, Tardieu, Verlaine...

Novalis disait que notre malheur était « de ne pas prendre en considération la partie nocturne du réel. De ne considérer du réel que la partie visible ». En fait, la poésie aussi fait partie de ce monde nocturne du réel. 

Notre langue est sacrée. Protégeons-la, veillons-la comme un feu qui ne doit jamais s'éteindre, car c'est lui qui doit éclairer la nuit du monde.

 

Anise Koltz, Somnambules du jour.

Encre noire et clair de lune.jpg

ENCRE NOIRE 
ET CLAIR DE LUNE

Textes choisis

sur le thème de la nuit

lus par

Anne-marie Collin

& André Loncin 

Samedi 25 janvier

à 18h00

Médiathèque Pierre Seghers

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation conseillée

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

Au cours de cette lecture/spectacle, Anne-Marie Collin et André Loncin évoqueront la nuit au fil de textes divers et variés, écrits par Allais, Baudelaire, Bobin, Bradbury, Céline, Clément, Colette, Collin, Darwich, De Beauvoir, De Nerval, Desproges, Droit, Duras, Gautier, Hugo, Koltz, Laâbi, Levin, Mallarmé, Musset, Norge, Paz, Pessoa, Quignard, Dame Sei Shonagon, Szymborska, Tardieu, Verlaine...

Novalis disait que notre malheur était « de ne pas prendre en considération la partie nocturne du réel. De ne considérer du réel que la partie visible ». En fait, la poésie aussi fait partie de ce monde nocturne du réel. 

Notre langue est sacrée. Protégeons-la, veillons-la comme un feu qui ne doit jamais s'éteindre, car c'est lui qui doit éclairer la nuit du monde.

 

Anise Koltz, Somnambules du jour.

À LA LIGNE

Feuillets d'usine

André Loncin lit

Joseph PONTHUS

Samedi 02 février

à 20h00

4821 ANDRIMONT

Belgique

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Pour annoncer votre venue :

+33 6 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

C'est l'histoire d'un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c'est qu'il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d'Apollinaire et les chansons de Trenet. C'est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l'odeur de la mer. Par la magie d'une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes.

Premier roman de Joseph Ponthus, « À la ligne » est le récit à la première personne d'une vie à l'usine, en intérim. Les cadences, le corps en souffrance, l'odeur, l'épuisement, mais aussi "la paradoxale beauté" de l'usine. Le jeune romancier déploie son texte comme un long ruban, comme une ligne de chaîne qui ne s'arrête jamais. Une claque.

 

Culturebox, 28 février 2019.

CHOCOLAT LITTÉRAIRE

Pour tous les gourmands à partir de 3 ans

Samedi 15 février

à16h00

BIBLIOTHÈQUE D’AUBEL

9 Göbbelshof

4880 AUBEL

 Belgique

Pour annoncer votre venue :

+32 87 68 72 00

bibli@aubel.be

Perché sur une énorme religieuse chocolat sortie tout droit des Deux Goinfres de Philippe Corentin, le plus gourmand des albums gourmands, André Loncin nous met l’eau à la bouche et nous régale de la lecture d’albums aussi appétissants que La Crotte de Tsé-Tsé de Bénédicte Guettier, Le Bébé bonbon de Claude Ponti, Les deux goinfres de Philippe Corentin, Aboie Georges de Jules Feiffer ou encore L’Ogre Babborco de Muriel Bloch… Et comme il se doit, tout finit en chanson avec une fabulette d’Anne Sylvestre, Pour ne pas manger !

Assis sur une énorme religieuse au chocolat, le conteur-lecteur promet un voyage littéraire au pays du sucre et autres friandises.

Un choix d’albums, lus et joués avec une belle énergie, à faire saliver les moins gourmands.

Françoise Sabatier-Morel – Télérama

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Mardi 18 février

à 18 heures

LIBRAIRIE LES AUGUSTINS

1 Pont du Chêne

4800 VERVIERS

Belgique

Réservation

+32 87 54 29 90

librairie@lesaugustins.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Vendredi 11 octobre

à 20 heures

Bibliothèque de Fléron

Espace culture

1 place Pascal Taskin

4910 THEUX

Belgique

Réservation

+32 87 54 29 90

justine.paque@theux.be

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

FOOTBALL__aff_40x60_v1.jpg

FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Samedi 21 juin

à 20h00

77340 PONTAULT-COMBAULT

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Réservation souhaitée

06 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

"Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance;"

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

SAISON 2025-2026
BR AFFICHE

BROUTILLES

Bibliothèque communale

62 rue du Village

4650 CHAINEUX

Belgique

Mercredi 1 octobre

à 14h30

+32 87 67 84 44 

lizadasi@hotmail.com

Réservation conseillée 

Un spectacle à partir d’un choix d’albums qui parlent de petits faits,

de petites choses, de petits événements sans importance…

Sans importance, vraiment ?

Sans importance pour qui ?

Pourquoi ?

Un chagrin d’enfant, sans importance, vraiment ?

Et cette mauvaise humeur qu’on refile aux autres parce qu’on mal dormi ?

Et toutes ces questions essentielles auxquelles on cherche des réponses ?

Et ce nuage qu’on voudrait attraper, enfermer, garder rien que pour soi ?

Et cette gigantesque petite chose que l’on passe sa vie à chercher…

Sans importance ?

Tristesse, peur, honte, colère, dégoût, étonnement, fierté, amour, joie…

Toutes ces émotions qui nous traversent, qui nous animent.

Émotions à reconnaître, à nommer et à partager…

À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

André Loncin lit

Marcel PROUST

Mardi 18 novembre

à 19 heures

MÉDIATHÈQUE

7-9 rue des Vallées

Châtenay-Malabry 92290

Réservation

À la recherche du temps perdu, un déluge textuel…

« Roman comique, roman tragique, roman d’aventures, roman érotique, roman poétique, roman onirique, roman d’une expérience unique, somme de tous les romans et de deux mille ans de littérature, À la recherche du temps perdu est devenu un monument historique. Mais c’est un monument encore habité. »

Claire Fercak, Le Journal de la culture, n° 12, 2005.

« Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul… »

Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913.

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