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SAISON 2024-2025
2025
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l'accordeur
d'intérieurs

André Loncin lit

Celso CASTRO

Dimanche 18 mai

à 18 heures

Rue Vauvenargues

75018 PARIS

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Réservation

Le roman

Un jeune homme de 17 ans, déluré et malheureux, vit avec sa grand-mère, attachante mais mythomane, et le fantôme de sa mère morte. Lecteur assidu, il philosophe et écrit de la poésie en autodidacte et cherche l'amour. Roman de formation grave et drôle, très original par son style unique. La narration confine parfois au flux de pensée et abonde en digressions, citations et anecdotes savoureuses.

L’auteur

 

Celso Castro, né en Galice en 1962, est poète, romancier et critique de poésie. Adulé par la critique espagnole, il est traduit ici pour la première fois en français.

« Un texte explosif, où la culture livresque côtoie la délinquance.

 Signaler la valeur subversive de Celso Castro est un acte de justice poétique. »

Enrique Vila-Matas

Tête à tête

TÊTE À TÊTE

Pour tous ceux qui s'aiment

- ou pas -

de 6 à 106 ans

Jeudi 12 juin

à 14h00

Médiathèque Albert Camus

Place Marguerite Yourcenar

91004 EVRY-COURCOURONNES

Réservation souhaitée

06 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

Anne-Marie Collin et André Loncin vous proposent de découvrir un choix d’albums – surprenants, drôles et émouvants – sur les nombreux visages de l’amour, celui qu’on porte à ses proches, à ses copains, à ses amis, et bien sûr aussi, à son amoureux ou son amoureuse…

 

Ils vous donneront à voir et à entendre : Tête à Tête de Geert de Kockere et Klaas Verplancke, L’Ours et l’enquiquineuse de Bonny Becker et Kady Macdonald Denton, L’amoureux de Rebecca Dautremer, Mon amour de Paul Cox, La folle allure de Christian Bobin, L’amour qu’on porte de Jo Hoestlandt, La pluie est amoureuse du ruisseau de David Dumortier et Julia Chausson. Et tout finira, comme il se doit, en chanson avec La complainte du progrès de Boris Vian.

Un spectacle qui rend léger, joyeux,

 qui émeut et qui se partage à tout âge.

 

Françoise Sabatier-Morel – Télérama TTT

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FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Samedi 21 juin

à 20h00

77340 PONTAULT-COMBAULT

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Réservation souhaitée

06 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

"Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance;"

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

SAISON 2025-2026
BR AFFICHE

BROUTILLES

BIBLIOTHÈQUE CHAINEUTOISE

62 rue du Village

4650 CHAINEUX

Belgique

Mercredi 1er octobre

à 14h30

+32 87 67 84 44 

lizadasi@hotmail.com

Réservation conseillée 

Un spectacle à partir d’un choix d’albums qui parlent de petits faits,

de petites choses, de petits événements sans importance…

Sans importance, vraiment ?

Sans importance pour qui ?

Pourquoi ?

Un chagrin d’enfant, sans importance, vraiment ?

Et cette mauvaise humeur qu’on refile aux autres parce qu’on mal dormi ?

Et toutes ces questions essentielles auxquelles on cherche des réponses ?

Et ce nuage qu’on voudrait attraper, enfermer, garder rien que pour soi ?

Et cette gigantesque petite chose que l’on passe sa vie à chercher…

Sans importance ?

Tristesse, peur, honte, colère, dégoût, étonnement, fierté, amour, joie…

Toutes ces émotions qui nous traversent, qui nous animent.

Émotions à reconnaître, à nommer et à partager…

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Mercredi 1er octobre

à 20 heures

CHAPELLE DE MONTY

al Mizwète

4654 CHARNEUX

Belgique

Réservation

+32 87 67 58 31

p.somja@gmail.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

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LES GARENNES
DE WATERSHIP DOWN

Richard ADAMS

Une lecture bondissante d’André Loncin !

Samedi 7 décembre

à 16h00

BIBLIOTHÈQUE

Espace culturel

18 rue de Romsée

4620 FLÉRON

Belgique

Réservation

Cessant d’être les Jeannot de notre enfance, voici que les lapins deviennent les héros d’une vaste épopée : chassés sans préavis, Cinquain et Noisette font partie d’un groupe fuyant leur garenne natale pour trouver un nouveau lieu de vie. L’Exode façon longues oreilles et quenottes, en somme !

 

« Les Garennes de Watership Down », un récit qui a la simplicité des grands mythes : Richard Adams refaçonne un système social avec ses institutions (virant parfois, pour certaines communautés, à la rudesse fascisante), sa religion et ses mythes, son économie, sa sémiotique (toute une langue est esquissée au fil du récit) …

Comment l’idée est-elle venue à monsieur Adams ? Tout simplement en voulant proposer à ses enfants, lors d’escapades dans la campagne anglaise, des histoires susceptibles de les émerveiller. Mais la richesse de l’histoire en fait plus un conte moral pour adulte tant l’univers imaginé est riche et les rapports entre les protagonistes, durs.

Je vais m’efforcer cependant de vous lire ces aventures faussement naïves mais véritablement poétiques avec les yeux candides de l’enfance…

André Loncin

À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

André Loncin lit

Marcel PROUST

Mardi 18 novembre

à 19 heures

MÉDIATHÈQUE

7-9 rue des Vallées

Châtenay-Malabry 92290

Réservation

À la recherche du temps perdu, un déluge textuel…

« Roman comique, roman tragique, roman d’aventures, roman érotique, roman poétique, roman onirique, roman d’une expérience unique, somme de tous les romans et de deux mille ans de littérature, À la recherche du temps perdu est devenu un monument historique. Mais c’est un monument encore habité. »

Claire Fercak, Le Journal de la culture, n° 12, 2005.

« Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul… »

Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913.

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