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SAISON 2024-2025
2025
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EN QUÊTE DE POÉSIE

conversation à bâtons rompus

Jeudi 16 janvier

à 10h00

LYCÉE VAN DONGEN

45 avenue Jean Mermoz

773400 LAGNY-sur-MARNE

Pour annoncer votre venue :

De Villon, Labé, Rutebeuf, à Norge, Aragon, Sicaud, Reda, Ponge ou Queneau en passant bien sûr par Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine et tous les autres… le Petit Théâtre mène son enquête dans le monde de la poésie. Avec eux, il vous emmène dans une conversation « à bâtons rompus » …

« D'ailleurs, parce que le vent, comme on dit, n'est pas à la poésie, ce n'est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son envol. Tout au contraire des vaisseaux, les oiseaux ne volent bien que contre le vent. Or la poésie tient de l'oiseau. »

Victor HUGO

Extrait de la Préface de Les Feuilles d'automne

Encre noire et clair de lune.jpg

ENCRE NOIRE 
ET CLAIR DE LUNE

Textes choisis

sur le thème de la nuit

lus par

Anne-marie Collin

& André Loncin 

Vendredi 24 janvier

à 20h00

MÉDIATHÈQUE

DU CHÂTEAU DES DAMES

Rue du 19 mars 1962

77820 Le CHÂTELET-en-BRIE

Réservation conseillée

Au cours de cette lecture/spectacle, Anne-Marie Collin et André Loncin évoqueront la nuit au fil de textes divers et variés, écrits par Allais, Baudelaire, Bobin, Bradbury, Céline, Clément, Colette, Collin, Darwich, De Beauvoir, De Nerval, Desproges, Droit, Duras, Gautier, Hugo, Koltz, Laâbi, Levin, Mallarmé, Musset, Norge, Paz, Pessoa, Quignard, Dame Sei Shonagon, Szymborska, Tardieu, Verlaine...

Novalis disait que notre malheur était « de ne pas prendre en considération la partie nocturne du réel. De ne considérer du réel que la partie visible ». En fait, la poésie aussi fait partie de ce monde nocturne du réel. 

Notre langue est sacrée. Protégeons-la, veillons-la comme un feu qui ne doit jamais s'éteindre, car c'est lui qui doit éclairer la nuit du monde.

 

Anise Koltz, Somnambules du jour.

Encre noire et clair de lune.jpg

ENCRE NOIRE 
ET CLAIR DE LUNE

Textes choisis

sur le thème de la nuit

lus par

Anne-marie Collin

& André Loncin 

Samedi 25 janvier

à 18h00

MÉDIATHÈQUE

PIERRE SEGHERS

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation conseillée

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

Au cours de cette lecture/spectacle, Anne-Marie Collin et André Loncin évoqueront la nuit au fil de textes divers et variés, écrits par Allais, Baudelaire, Bobin, Bradbury, Céline, Clément, Colette, Collin, Darwich, De Beauvoir, De Nerval, Desproges, Droit, Duras, Gautier, Hugo, Koltz, Laâbi, Levin, Mallarmé, Musset, Norge, Paz, Pessoa, Quignard, Dame Sei Shonagon, Szymborska, Tardieu, Verlaine...

Novalis disait que notre malheur était « de ne pas prendre en considération la partie nocturne du réel. De ne considérer du réel que la partie visible ». En fait, la poésie aussi fait partie de ce monde nocturne du réel. 

Notre langue est sacrée. Protégeons-la, veillons-la comme un feu qui ne doit jamais s'éteindre, car c'est lui qui doit éclairer la nuit du monde.

 

Anise Koltz, Somnambules du jour.

À LA LIGNE

Feuillets d'usine

André Loncin lit

Joseph PONTHUS

Vendredi 7 février

à 20h00

BIBLIOTHÈQUE

Espace culture

18 rue de Romsée

4620 Fléron

Belgique

Réservation

C'est l'histoire d'un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c'est qu'il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d'Apollinaire et les chansons de Trenet. C'est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l'odeur de la mer. Par la magie d'une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes.

Premier roman de Joseph Ponthus, « À la ligne » est le récit à la première personne d'une vie à l'usine, en intérim. Les cadences, le corps en souffrance, l'odeur, l'épuisement, mais aussi "la paradoxale beauté" de l'usine. Le jeune romancier déploie son texte comme un long ruban, comme une ligne de chaîne qui ne s'arrête jamais. Une claque.

 

Culturebox, 28 février 2019.

À LA LIGNE

Feuillets d'usine

André Loncin lit

Joseph PONTHUS

Samedi 8 février

à 20h00

4821 ANDRIMONT

Belgique

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Pour annoncer votre venue :

+33 6 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

C'est l'histoire d'un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c'est qu'il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d'Apollinaire et les chansons de Trenet. C'est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l'odeur de la mer. Par la magie d'une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes.

Premier roman de Joseph Ponthus, « À la ligne » est le récit à la première personne d'une vie à l'usine, en intérim. Les cadences, le corps en souffrance, l'odeur, l'épuisement, mais aussi "la paradoxale beauté" de l'usine. Le jeune romancier déploie son texte comme un long ruban, comme une ligne de chaîne qui ne s'arrête jamais. Une claque.

 

Culturebox, 28 février 2019.

CHOCOLAT LITTÉRAIRE

Pour tous les gourmands à partir de 3 ans

Samedi 15 février

à16h00

BIBLIOTHÈQUE D’AUBEL

9 Göbbelshof

4880 AUBEL

 Belgique

Pour annoncer votre venue :

+32 87 68 72 00

bibli@aubel.be

Perché sur une énorme religieuse chocolat sortie tout droit des Deux Goinfres de Philippe Corentin, le plus gourmand des albums gourmands, André Loncin nous met l’eau à la bouche et nous régale de la lecture d’albums aussi appétissants que La Crotte de Tsé-Tsé de Bénédicte Guettier, Le Bébé bonbon de Claude Ponti, Les deux goinfres de Philippe Corentin, Aboie Georges de Jules Feiffer ou encore L’Ogre Babborco de Muriel Bloch… Et comme il se doit, tout finit en chanson avec une fabulette d’Anne Sylvestre, Pour ne pas manger !

Assis sur une énorme religieuse au chocolat, le conteur-lecteur promet un voyage littéraire au pays du sucre et autres friandises.

Un choix d’albums, lus et joués avec une belle énergie, à faire saliver les moins gourmands.

Françoise Sabatier-Morel – Télérama

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Mardi 18 février

à 18 heures

LIBRAIRIE LES AUGUSTINS

1 Pont du Chêne

4800 VERVIERS

Belgique

Réservation

+32 87 54 29 90

librairie@lesaugustins.com

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

REMY Marcel

LES CEUX DE CHEZ NOUS

André Loncin lit

Marcel REMY

Jeudi 20 février

à 20 heures

BIBLIOTHÈQUE DE THEUX

1 place Pascal Taskin

4910 THEUX

Belgique

Réservation

+32 87 54 29 90

justine.paque@theux.be

Les ceux de chez nous raconte la vie du petit hameau de Bois-de-Breux, tout proche de Liège dans les années 1870. Le narrateur, un jeune garçon de six ou sept ans, parle avec la candeur de son âge et l’ignorance des affaires des « grands » ...

L’auteur

 

Marcel Remy, naît à Bois-de-Breux en 1865. Il meurt à Berlin en 1906.

De 1901 à 1906, il tient une sorte de chronique dans Le Journal de Liège où il raconte ses souvenirs d’enfance.

En 1925, son ami Maurice Kunel publie sous le titre Les ceux de chez nous cet ensemble de nouvelles qui s’imposera d’emblée comme un petit-chef d’œuvre de littérature régionale.

« Œuvre d'humour où la morale s'érige en paradoxe. Les êtres n’y sont ni meilleurs, ni pires. Avec leurs instincts brutaux, leurs paroles bourrues, leurs idées étroites, ils rappellent les fantoches de théâtres populaires et les scènes font penser aux guignols des champs de foire. Mais le rire n'y étale pas qu'une grosse joie bouffonne ; d'essence plus précieuse, il naît des accouplements d'idées les plus étranges et des trouvailles de mots les plus imprévues. Expression d'une sensibilité, au service d'une plume qui fit, de ces contes écrits dans un mélange de français et de wallon liégeois, une œuvre humoristique des plus originale. »

Maurice Kunel – Préface à l’Édition de 1925

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EN QUÊTE DE POÉSIE

conversation à bâtons rompus

Samedi 29 mars 

à 10h00

MÉDIATHÈQUE

PIERRE SEGHERS

Place Marguerite Yourcenar

91280 St-PIERREdu-PERRAY

Réservation conseillée

01 60 75 04 12

mediatheque@stpdp.com

De Villon, Labé, Rutebeuf, à Norge, Aragon, Sicaud, Reda, Ponge ou Queneau en passant bien sûr par Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine et tous les autres… le Petit Théâtre mène son enquête dans le monde de la poésie. Avec eux, il vous emmène dans une conversation « à bâtons rompus » …

« D'ailleurs, parce que le vent, comme on dit, n'est pas à la poésie, ce n'est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son envol. Tout au contraire des vaisseaux, les oiseaux ne volent bien que contre le vent. Or la poésie tient de l'oiseau. »

Victor HUGO

Extrait de la Préface de Les Feuilles d'automne

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FOOTBALL

André Loncin lit

Jean-Philippe TOUSSAINT

Samedi 21 juin

à 20h00

77340 PONTAULT-COMBAULT

La lecture/spectacle ayant lieu chez un particulier

veuillez nous contacter pour plus de précisions.

Réservation souhaitée

06 16 39 24 85

cielpt@gmail.com

"Jamais, comme pendant la Coupe du monde au Japon en 2002, je n’ai éprouvé une aussi parfaite concordance des temps, où le temps du football, rassurant et abstrait, s’était, pendant un mois, non pas substitué, mais glissé, fondu dans la gangue plus vaste du temps véritable. C’est peut-être là l’enjeu secret de ces lignes, essayer de transformer le football, sa matière vulgaire, grossière et périssable, en une forme immuable, liée aux saisons, à la mélancolie, au temps et à l’enfance;"

Jean-Philippe TOUSSAINT

Jean-Philippe Toussaint est né le 29 novembre 1958 à Bruxelles. C’est un écrivain belge de langue française. Ses romans se caractérisent par un style et un récit minimaliste, dans lesquels les personnages et les choses n’ont d’autre signification qu’eux-mêmes. 

Football a reçu le Grand prix « sport et littérature » 2015. À travers ce récit très personnel de ses souvenirs et de son rapport au football, Jean-Philippe Toussaint poursuit son travail d’analyse d’un sport qu’il affectionne particulièrement et pour lequel, en tant que journaliste-reporter pour divers quotidiens, il a fréquemment consacré des articles de presse pour divers quotidiens.

« Proust au stade, un exercice mutin de remémoration, expression orgueilleuse

d’un art poétique dans un livre délicat, précis, élégant, d’un humour dérivant. »

Jean-Louis KUFFER

SAISON 2025-2026
BR AFFICHE

BROUTILLES

BIBLIOTHÈQUE COMMUNALE

62 rue du Village

4650 CHAINEUX

Belgique

Mercredi 1er octobre

à 14h30

+32 87 67 84 44 

lizadasi@hotmail.com

Réservation conseillée 

Un spectacle à partir d’un choix d’albums qui parlent de petits faits,

de petites choses, de petits événements sans importance…

Sans importance, vraiment ?

Sans importance pour qui ?

Pourquoi ?

Un chagrin d’enfant, sans importance, vraiment ?

Et cette mauvaise humeur qu’on refile aux autres parce qu’on mal dormi ?

Et toutes ces questions essentielles auxquelles on cherche des réponses ?

Et ce nuage qu’on voudrait attraper, enfermer, garder rien que pour soi ?

Et cette gigantesque petite chose que l’on passe sa vie à chercher…

Sans importance ?

Tristesse, peur, honte, colère, dégoût, étonnement, fierté, amour, joie…

Toutes ces émotions qui nous traversent, qui nous animent.

Émotions à reconnaître, à nommer et à partager…

À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

André Loncin lit

Marcel PROUST

Mardi 18 novembre

à 19 heures

MÉDIATHÈQUE

7-9 rue des Vallées

Châtenay-Malabry 92290

Réservation

À la recherche du temps perdu, un déluge textuel…

« Roman comique, roman tragique, roman d’aventures, roman érotique, roman poétique, roman onirique, roman d’une expérience unique, somme de tous les romans et de deux mille ans de littérature, À la recherche du temps perdu est devenu un monument historique. Mais c’est un monument encore habité. »

Claire Fercak, Le Journal de la culture, n° 12, 2005.

« Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul… »

Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913.

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